Être quelqu'un de bien : philosophie du bien et du mal / Laurence, Devillairs [ Livre]
Langue: Français ; de l'oeuvre originale, Français.Publication : Paris : PUF, 2019Description : 1 vol. (224 p.) ; 19 cmISBN: 9782130818700.Classification: 170 Ethique : déontologie, bioéthique, éthique du vivantRésumé: La 4e de couverture indique : «À quoi reconnaît-on quelqu’un de bien? Est-ce à sa gentillesse? Sans doute à la condition d’accorder au gentil le privilège de la force et du courage. Est-ce à sa conformité à des valeurs, à sa bienveillance, à son empathie? Rien de tout cela: quelqu’un de bien est avant tout quelqu’un de libre, libéré de tout ce qui pèse et incline, de tout ce qui prédestine et rend prévisible caractère, désirs, appartenances sociales, et même obéissance à des normes et des devoirs.Agir moralement est un mystère de liberté et d’obligation, un mélange de contrainte et d’élan. C’est ce mystère que Laurence Devillairs entreprend d’élucider: que se passe-t-il quand nous agissons moralement? Ne faisons-nous pas alors l’épreuve d’un bien qui nous dépasse, mais qui dépend de nous pour advenir dans ce monde?Être quelqu’un de bien, c’est faire mentir les cyniques et les sceptiques. C’est affirmer qu’un monde meilleur est possible, un monde du bien. ».Sujet - Nom commun: Bien et mal | Liberté | Morale socialeCurrent location | Call number | Status | Notes | Date due | Barcode |
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ENS Rennes - Bibliothèque Sciences humaines | 170 DEV (Browse shelf) | Available | 170 Ethique : déontologie, bioéthique, éthique du vivant | 042828 |
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La 4e de couverture indique : «À quoi reconnaît-on quelqu’un de bien? Est-ce à sa gentillesse? Sans doute à la condition d’accorder au gentil le privilège de la force et du courage. Est-ce à sa conformité à des valeurs, à sa bienveillance, à son empathie? Rien de tout cela: quelqu’un de bien est avant tout quelqu’un de libre, libéré de tout ce qui pèse et incline, de tout ce qui prédestine et rend prévisible caractère, désirs, appartenances sociales, et même obéissance à des normes et des devoirs.Agir moralement est un mystère de liberté et d’obligation, un mélange de contrainte et d’élan. C’est ce mystère que Laurence Devillairs entreprend d’élucider: que se passe-t-il quand nous agissons moralement? Ne faisons-nous pas alors l’épreuve d’un bien qui nous dépasse, mais qui dépend de nous pour advenir dans ce monde?Être quelqu’un de bien, c’est faire mentir les cyniques et les sceptiques. C’est affirmer qu’un monde meilleur est possible, un monde du bien. »